Eija L. Orvokki br> Messages : 3 Avatar : Mélanie Laurent Citation : What innocence could have such splendour? No naked beauty nor a warm smile but the Power to leave stars and worlds in lifeless silence...
| Sujet: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:00 | |
| eija lemmiki orvokki " No star will shine tonight, no star, no matter how bright. Across the firmament goes its flight... A great darkness devouring the light. " |
♌ I'M A BITCH merci de répondre à ces questions en étant assez explicites, nous ne vous demandons pas 20 lignes bien sûr.
→ Depuis combien de temps habitez-vous Milan? → Êtes-vous épanouis dans votre travail? → Qu’est-ce que vous inspire la mode ? → Seriez-vous prêt(e) à tout par amour pour la mode ? → Si je vous dit que la marinière est à la mode vous me dites ? | ♌ MY POKER FACE Je me nomme Eija Lemmiki Orvokki, je suis né(e) à Pelkosienniemi, Finlande, il y a 22 ans. Je suis finlandaise. Heureusement pour moi, je suis célibataire et pour l’instant cette situation me convient pour le mieux. Même si ce n’est pas simple tous les jours,je suis photographe pour la maison Albrizzio, je suis malgré tout très épanouie, je ne vais donc pas m’en plaindre. Le groupe auquel je fais partie est Better In Time, d’ailleurs ces gens-là disent que je ressemble à Mélanie Laurent ; je ne vois pas très bien qui elle peut être, mais une chose est sûre, elle doit être franchement belle. |
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- Citation :
- écoute mon beau, ici c'est ta partie, tu te présentes comme tu veux, tu te fais un kiff. nous aimerions quand même que cela soit rempli, cela nous aidera à nous imaginer qui se cache derrière l'écran, comprends nous. bisous bisous.
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Eija L. Orvokki br> Messages : 3 Avatar : Mélanie Laurent Citation : What innocence could have such splendour? No naked beauty nor a warm smile but the Power to leave stars and worlds in lifeless silence...
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:00 | |
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" Dark are my dreams on the stone bed, for no sunlight shall reach to the land of the dead. " |
« Chacun a les vices qu’il développe de son propre gré par des années de différentes émotions endurées. Chacun mérite sa déchéance ou son apogée par le biais des vertus qui lui ont été prédestiné. Chacun mérite de se défaire de ses chaines ou d’aggraver leur force. Ces chaines qui retiennent notre existence, ces chaines qui empêchent au-delà d’une espérance de sortir de cette enveloppe serrée. La vie est un cadeau et si l’on sait pas en profiter, alors elle n’a plus lieu d’être. La vie est un cadeau à ceux qui dès leur naissance ont pu avoir la chance de ne pas aborder la lumière en ayant, en cet innocent début, une maladie. Une maladie qu’enfant l’on ne comprend pas, mais qu’en grandissant, on sait qu’elle restera et empêchera une existence rêvée, une utopie vivante qui caresse du bout des doigts ceux qui ont pu l’accrocher. Alors que reste-t-il ? Quand l’esprit ne semble même plus suivre une certaine normalité, … » C’est un 21 avril 1990 que Eija naquit, dans un petit hôpital du nord de la Finlande, à Pelkosenniemi. Ses parents étaient des commerçants, des gens qui ne roulaient pas sur l’or mais qui, avec une générosité légendaire, aidaient les autres avec un franc sourire dessiné sur leur visage. Il n’y a rien de différent à cette époque. Aucune tâche sur ce début de contes de fées. Juste des lignes, une histoire à faire pâlir d’envie les princesses et autres blondasses tout juste bonnes à se trouver un homme. Ses premières années d’école furent semblables à celles de n’importe quel autre enfant. Dès le début bonne élève, ses années de primaire sont associées à des notes souvent bien bonnes, et un comportement irréprochable à l’envers de ses camarades et de ses professeurs. C’est à la fin de son primaire justement que ses parents décident de déménager, pour se rapprocher de la Finlande Méridionale, et surtout d’une plus grande ville. Leur choix se porta alors sur Espoo, à quelques kilomètres d’Helsinki. C’est donc dans un collège relativement plus grand que celui auquel elle aurait été prédestiné à Pelkosenniemi qu’elle rentra, sans grande inquiétude. « Mais certaines choses considérées comme des vices sont aléatoires et inévitables, des choses qui une fois ont lancé leur linceul sur un corps y restent agrippé. Des choses qui simplement ne se choisissent pas, mais dont lesquelles nous pourrions nous passer amplement. Lesquelles se déclarent plus tard, alors voyons-nous la noirceur qu’elles portent car elles arrivent si vite qu’on ne peut se résoudre à s’y habituer. Si toutefois avons-nous encore un esprit qui nous permet après de cela de remarquer un changement quelconque d’une attitude. Ces vices qui changent à jamais sa propre perception du monde, qui noie sous ses eaux perfides. Ces vices qui une fois ancrés emprisonnent dans une cellule froide et sans âme. La vie n’est pas cruelle. Elle le sera à nos yeux si l’on ne sait pas accepter ses décisions. Celles-ci peuvent être étranges, mais le destin est simplement tracé pour quiconque ne sait pas se sortir des situations qui le hantent. »
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" In the darkness, in the nothingness of absent light, where no life force is permitted to exist. " |
« Ne pas savoir se sortir des situations qui nous hantent c’est briser les chaines qui nous retiennent à notre existence. Lorsque nous choisissons de ne plus combattre le mal qui nous ronge, ce dernier tend à devenir plus puissant, d’exercer une force plus intense sur notre esprit. Les maux les plus douloureux sont ceux que l’on s’inflige à soi-même, et se laisser tomber dans le mal est une de ces douleurs qui tourmentent. Et quand tout est affaibli, il n’y plus grand chose à faire, si ce n’est qu’accepter au plus possible la circonstance actuelle. J’embrasse ce qui me tient prisonnière et je me jette dans sa noirceur nébuleuse. Je n’accepte pas. Je me soumet au fait que je ne pourrais jamais m’en défaire et qu’il vit en moi. Qu’il m’a faite oublier la vie que j’avais avant. » Assise sur un des bancs usé par le temps de son collège, Eija est tout le temps seule et contemple autour d’elle comme si ce paysage de groupes d’adolescents lui semblait nouveau. Comme si chaque jour signait une amnésie et qu’elle oubliait ce qui s’était passé hier. Elle contemple les horizons et le ciel bleu en été, la neige opaline en hiver. Chaque jour se ressemble. Chaque jour est une répétition de la veille et un avancement du lendemain. La jeune fille n’entend à peine ce qui se dit autour, elle est perdue dans un autre monde et apparaît loin de ce qui l’entoure. Loin de ces gens sur lesquels elle maudit à certains moments. Eija est en troisième et a quinze ans cette année. Toutes les années précédentes ont été une réussite, avec d’excellentes moyennes et une facilité incroyable. Jamais son comportement n’a divagué, jamais ses notes n’ont sombré et ses professeurs la vouaient à une profession admirable. C’est ce qu’ils croyaient, c’est ce qu’ils croyaient tous. Mais à certains moments, des imprévus arrivent. Des imprévus qui changent à jamais le cours d’une existence. Eija collectionne les moyennes qui avoisinent le zéro, renferme son comportement vers un mutisme borné. Ses exercices ne sont plus faits et ses leçons ne sont plus apprises. Elle préfère être seule et vagabonde vers « son univers ». Elle paraît loin de la réalité et n’écoute plus ce que les autres lui disent. Ses parents, dans un excès bien dispensable de gentillesse, l’ont envoyé chez un psy, où l’heure bien payée de ses parents aurait pu être exonérée tant l’entêtement de la demoiselle à ne pas dire un mot est grand. Le psy n’a su rien faire. Pour lui, qu’importe, il serait payé de toute manière. La situation se complique lorsque son état s’aggrave, et qu’elle s’évanouit brutalement chez elle, en rentrant. Et c’est ce jour, le 14 juin 2005 que la réalité apparut aux yeux de son entourage et à ses propres yeux. « Être aveuglée par sa propre réalité est quelque chose d’étrange. Je suis rongée par ma maladie de l’intérieur et je ne sais même pas qu’elle existe. Je crois que tout est comme avant, que rien n’a changé, que le monde me sourit toujours alors qu’en moi, je pense avoir touché la plus grande noirceur du monde. Je ne souffre pas directement car je ne sais même pas ce que j’entreprend. Je crois ne faire du mal à personne que lorsque je blesse. Je crois faire quelque chose d’utile quand je nuis. Et je crois profondément que je suis encore blanche à l’égard de ce mal, quand lui-même me prend dans ses bras. »
PAS FINI
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Dernière édition par Eija L. Orvokki le Sam 2 Juil - 10:51, édité 1 fois |
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Cador Nikrorov de Spinosi br> Messages : 513 Avatar : Ϟ ROBBIE WADGE (sexyboy) Citation : « Je respecte ton avis tu vois, mais en même temps c’est pas le mien donc c’est pas le bon... »
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:03 | |
| bienvenue si tu as des questions ou quoi que ce soit, je suis là! |
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Kalyane Del SellaioACE OF SPADE ㄨ RED QUEEN br> Messages : 830 Avatar : Ruby Aldridge Citation : Certaines personnes disent que je suis atroce, mais ce n'est pas vrai. J'ai le cœur d'un jeune garçon... dans un bocal sur mon bureau !
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:03 | |
| MELANIE LAUREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENT Cette fille est vraiment une bombasse. Je te souhaite la bienvenue :D. Bon courage pour ta fiche. |
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Noam Eden Warhol br> Messages : 33 Avatar : MOMSEN. Citation : UC.
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:04 | |
| Bonjour, bienvenue. Mélanie ; je t'idolâtre. |
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Miloslava Droubetskoïa br> Messages : 51 Avatar : constance jablonski. Citation : je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien.
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Ven 1 Juil - 20:05 | |
| BIENVENUE très bon choix, mélanie est parfaite. |
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Eija L. Orvokki br> Messages : 3 Avatar : Mélanie Laurent Citation : What innocence could have such splendour? No naked beauty nor a warm smile but the Power to leave stars and worlds in lifeless silence...
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Sam 2 Juil - 10:32 | |
| Wow, contente que Mélanie plaise en tout cas Merci pour cet accueil |
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Perla-Luna J. Di Stefano br> Messages : 53 Avatar : Barbara Palvin Citation : Blackbird singing in the dead of night, take these broken wings and learn to fly. All your life, you were only waiting for this moment to arrive, you were only waiting for this moment to be free.
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Sam 2 Juil - 17:10 | |
| - Kalyane Del Sellaio a écrit:
- MELANIE LAUREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENT
Cette fille est vraiment une bombasse. +1 !
Je te souhaite la bienvenue parmi nous, Eija. J'adore ton nom. Je te dis aussi bonne continuation pour ta fiche de présentation, et j'espère que tu t'amuseras sur le forum.
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Feather A. MarinelliFEATHER ♔ drop dead gorgeous br> Messages : 77 Avatar : Ginta Lapina Citation : You're the wolf and I'm the moon.
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. Mar 12 Juil - 21:15 | |
| Ca fait plus d'une semaine que ta fiche est postée. Je déplace. |
| | | br>
| Sujet: Re: You can't have a light without a dark to stick it in. | |
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| | | | You can't have a light without a dark to stick it in. | |
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